
Foire aux questions
Tarif et obligation d'achat
Vous avez la possibilité de vendre l’intégralité de votre production sur le réseau (Enedis, ex-ERDF). Dans ce cas, EDF a l’obligation d’acheter votre électricité à un tarif fixé par l’État. Ce tarif se fixe au moment de la demande de raccordement et pour une durée de 20 ans. Cela dit, le tarif est revu à la baisse pour les nouveaux contrats à venir tous les trimestres. Il dépend de la taille de l’installation et du type d’installation.
Crédit d’impôt
Il n’existe plus de crédit d’impôt pour le photovoltaïque depuis 2014. Le crédit d’impôt s’applique encore pour certaines technologies solaires comme le solaire thermique ou l’aérovoltaïque. Il est en ce cas de 30% du montant du matériel.
Prime
Différente du crédit d’impôt et cumulable avec celui-ci, une prime a été prévue pour les installations en autoconsommation avec vente du surplus. Cette prime est de 400 € / kWc installés si la puissance est inférieure à 3 kWc, de 300 € / kWc entre 3 et 9 kWc, de 200 € / kWc entre 9 et 36 kWc et de 100 € / kWc entre 36 et 100 kWc.
TVA
La TVA est de 10% pour les installations entre 0 et 3 kWc. Elle est de 20% pour les installations avec une puissance supérieure à 3 kWc. Enfin, elle est de 5,5% pour les installations thermiques, hybrides ou aérovoltaïques (entrant dans le cadre de la loi de transition énergétique).
Imposition des revenus
En dessous de 3 kWc, les revenus issus de la vente d’électricité sur le réseau sont exonérés d’impôts. Au-delà, les revenus bénéficient d’un abattement de 71%. Sur les 29%, le vendeur d’électricité photovoltaïque paiera 15,5 % de prélèvements sociaux et son taux d’imposition marginal.
Urbanisme
Dans un rayon de 500 m² autour d’un bâtiment classé, il peut y avoir un avis défavorable des Architectes des Bâtiments de France à une installation photovoltaïque s’il y a covisibilité. Dans ce cas, votre projet aura très peu de chances de voir le jour.. La covisibilité est le fait de pouvoir observer la toiture d’une maison depuis un monument classé ou de pouvoir observer un monument classé depuis la toiture de cette maison.Dans le cas où il y a un doute sur la possibilité de réaliser une installation, mieux vaut anticiper votre demande de déclaration de travaux, et sensibiliser l’Architecte des Bâtiments de France à votre projet. Contactez-nous pour que nous puissions déterminer ensemble la marche à suivre.
Effet photovoltaïque
L’effet photovoltaïque est obtenu par absorption des photons dans un matériau semi-conducteur qui génère alors l’excitation d’un électron créant une tension ou un courant électrique. C’est donc bien la lumière et non la chaleur qui est productrice d’électricité dans le cas du photovoltaïque.
Puissance nominale (kWc, nombre de panneaux, m²)
La puissance nominale d’une installation est exprimée en kWc ou kiloWatt crête. Concrètement, un kWc représente 4 panneaux standards et donc environ 7 m² de pose. En France, dans les meilleures conditions d’exposition un kWc produit entre 1000 et 1700 kWh par an, selon la localisation géographique.
Performance ratio
Le performance ratio est un nombre entre 0 et 1 qui détermine les pertes liées au circuit électrique dans la transformation de l’irradiation solaire. Aujourd’hui, notre simulateur utilise un performance ratio de 0,83 pour les installations en intégration au bâti et de 0,87 en surimposé. Ces dernières sont plus performantes car elles souffrent moins de pertes d’efficacité dues à la chaleur.
Rayonnement
Il existe 3 types de rayonnement entrant en jeu dans la production photovoltaïque :
- Le premier est celui auquel on pense généralement quand on parle d’ensoleillement : le rayonnement direct du soleil.
- Le second est le rayonnement diffus. Le rayonnement diffus est la lumière du soleil reflétée par l’atmosphère. Les jours de beau temps celui est plus faible que le rayonnement direct. Il est en revanche plus important les jours de mauvais temps. Ainsi, les panneaux solaires produisent même par mauvais temps. En effet, quand le temps est couvert, il ne fait pas nuit.
- Le dernier rayonnement de la lumière naturelle est appelé albedo. L’albedo est la réflexion du soleil sur le sol. Négligeable dans la production photovoltaïque la plupart du temps, l’albedo peut-être important à proximité de la mer ou sur des paysages enneigés.
Technologie des semi-conducteurs (monocristallin, polycristallin...)
Aujourd’hui les panneaux solaires sont la plupart du temps faits en silicium. Il se sépare en deux groupes : les panneaux monocristallins et polycristallins.
- Les monocristallins sont plus sombres et ont une allure uniforme. Ils sont également plus performants pour récolter les rayonnements diffus. Enfin, ils ont généralement un meilleur rendement énergétique pour une taille donnée mais coûtent aussi plus cher que les polycristallins.
- Les polycristallins, au contraire, présentent leurs assemblages de cristaux de manière visible et sont davantage bleutés et sont plus efficaces sur le rayonnement direct.
Différents types d’intégration
L’intégration au bâti (ou IAB) consiste à remplacer l’élément de couverture (tuiles, ardoise, etc) par les panneaux solaires de manière à ce que ceux-ci assurent l’étanchéité. Il est également possible d’avoir des installations au dessus de l’élément de couverture avec un système de fixation ou sur un support pour les toitures plates. On parle d’installations en surimposé. Notez que si vous envisagez de revendre l’intégralité de votre production à EDF, il faut privilégier l’IAB. En effet, vous bénéficiez ainsi des plus hauts tarifs d’achat. Au contraire, si vous pensez opter pour l’autoconsommation, le surimposé est à privilégier car il est tout simplement moins coûteux que l’IAB.
Temps d'installation
Le temps d’installation de vos panneaux est variable et dépend du type d’intégration et de la taille de l’installation. Par exemple, l’installation d’un 3 kWc en surimposé ne prend qu’un jour ou deux. En revanche, un 9 kWc en intégration au bâti prend dans les 2 semaines.
Garanties et assurances
Pendant les 2 premières années après l’installation des panneaux, l’installation est couverte par une garantie biennale. Cette garantie couvre tous les problèmes que peut avoir l’installation (défaillance matérielle, électrique, infiltration…) Concrètement, l’installateur intervient gratuitement sur tous les problèmes que pourrait rencontrer l’installation. En cas de défaillance matérielle, il remplacera le matériel en faisant jouer la garantie. Par la suite, l’installation est également couverte par une assurance décennale. L’assurance décennale couvre les problèmes électriques et d’infiltration. Cette assurance n’est pas limitée à un installateur. Si votre installateur prend sa retraite dans les 10 années, vous pourrez toujours faire jouer la garantie auprès de la compagnie d’assurance. Enfin, le matériel possède systématiquement des garanties. Il en existe 2 types : la garantie de production assurant un certain rendement et la garantie produit assurant le fonctionnement du panneau. Aujourd’hui ces garanties s’étalent sur des durées allant jusqu’à 25 ou 30 ans.
Désamiantage
Si votre toiture est amiantée, il va falloir la désamianter et la remplacer. Il faut faire appel à une entreprise spécialisée, certifiée par l’Etat. Le prix moyen pour le désamiantage d’une toiture en plaque fibrociment varie de 20 à 30€ TTC / m2 mais peut aller jusqu’à 40€ (en fonction de la surface, dupoids final des déchets à traiter, de la configuration de la toiture, de son accessibilité…) Il faut ensuite prévoir de refaire sa toiture : le prix dépendra des nouveaux matériaux choisis, de l’état de la charpente…
Entretien et nettoyage
Entretenir une installation photovoltaïque est simple. Ils ne nécessitent en effet que peu de maintenance. Effectuez simplement un lavage à l’eau une fois par an, ou une fois tous les trois ans a minima. Ce rythme de nettoyage est encore plus légitime si vous habitez dans une région riche en particules En effet, les panneaux possèdent un revêtement leur permettant de ne pas se tacher. La pluie suffit alors à les nettoyer. Il faut tout de même se méfier des fientes d’oiseaux qui peuvent créer des hotspots abîmant le panneau.
Maintenance
Une installation photovoltaïque résidentielle ne nécessite pas de maintenance préventive. Il faudra prévoir en revanche de changer l’onduleur lorsque celui-ci tombe en panne. On parlera plutôt de maintenance curative. Il est donc essentiel de bien étudier le contrat de maintenance que vous propose votre installateur et si celui-ci intègre le changement des onduleurs.
Onduleur
L’onduleur est la pièce du circuit électrique qui permet de transformer le courant continu issu des panneaux photovoltaïques en courant alternatif. Concrètement, l’onduleur est la pièce « faible » du système photovoltaïque avec des garanties généralement comprises entre 5 et 12 ans. Il sera donc à prévoir de le changer au moins une fois au cours du cycle de vie de l’installation. La plupart des fabricants d’onduleur propose des extensions de la garantie initiale ; ces extensions sont à privilégier car elles reviendront moins chères qu’un changement d’onduleur (compter dans les 2.000 € pour l’onduleur d’une petite installation, contre 250-300 € pour l’extension de garantie).
Micro-onduleur
Les micro-onduleurs ont la même fonction que les onduleurs centraux (ou string). Cependant, ils opèrent différemment : chaque panneau a son propre micro-onduleur qui va être le plus souvent directement intégré au dos de celui-ci. Les micro-onduleurs sont à privilégier dans certains cas, notamment lorsque la toiture est soumise à des ombrages partiels. Par exemple, si une ombre portée fait perdre 50% de la production d’un panneau, avec un onduleur central, l’ensemble de l’installation va perdre 50% de sa production. Avec des micro-onduleurs, seulement le panneau concerné perdra la moitié de sa production. On notera toutefois que cette solution est plus onéreuse.
Rachat de votre production. Et après ?
Votre contrat de rachat de votre production par EDF s’étale sur une durée de 20 ans. Cela dit, votre installation photovoltaïque a une durée de vie bien supérieure, même si la production de celle-ci aura légèrement diminué avec les années. Que faire donc après 20 ans ? Vous pourrez librement passer à l’autoconsommation. Vous bénéficierez en plus de solutions de stockage à bas coût.
Batteries
Il existe trois technologies : au plomb, au lithium et au gel. Cela dit, la plupart des batteries qu’on trouve aujourd’hui sont au lithium-ion. Les batteries sont généralement couvertes par des garanties tournant autour de 10 ans. Comptez au minimum 500 € / kWh stocké avec des tailles avoisinant les 2,5 kWh de stockage. Ainsi, sauf en cas de site isolé, nous ne recommandons pas les solutions de stockage pour leur impact sur la rentabilité du projet.
Assurances
L’installation d’un système PV doit absolument être déclarée à l’assurance habitation par mail ou courrier (en gardant une trace écrite de l’envoi). La déclaration est gratuite et obligatoirement acceptée.
Orientation
La meilleure orientation pour une installation photovoltaïque est le plein sud. Dans la plupart des cas, une orientation est sera à favoriser par rapport à une orientation ouest en France. Pour choisir le meilleur pan, il vous sera utile de consulter notre simulateur.
Inclinaison
La meilleure inclinaison pour une installation photovoltaïque en France se trouve aux alentours de 35°. C’est l’inclinaison de la majeure partie des toitures résidentielles en France. Les maisons typées Alsaciennes ou Normandes ont des inclinaisons plus élevées, autour de 45°.
Installations hors toiture
Il est possible de faire des installations en dehors des toitures. En ce cas, le gouvernement n’accorde pas de prix fixé, ni d’obligation d’achat par EDF pour l’électricité produite. Le seul cas dans lequel bénéficier du tarif d’achat (pour la vente en totalité ou en surplus après consommation) sera possible est celui dans lequel l’installation photovoltaïque remplit des rôles fonctionnels comme une pergola ou un brise-soleil par exemple.
Amiante
L’usage de l’amiante est interdit en France depuis 1997 pour son caractère cancérigène pour l’homme. Si vous avez une toiture en fibrociment datant d’avant cette date là, il y a des chances qu’elle contienne de l’amiante. Il faudra en ce cas procéder à un désamiantage avant de pouvoir installer les panneaux solaires. Cela étant, installer des panneaux solaires permet également d’amortir le coût du désamiantage.
Rachat de toute votre production par EDF
Le gouvernement propose par le biais d’EDF d’acheter l’électricité produite par les installations photovoltaïques résidentielles à un tarif d’achat préférentiel fixé pendant 20 ans. Ce tarif d’achat étant plus élevé que celui de vente (comme par exemple le tarif bleu d’EDF). Cette formule est de ce fait plus lucrative que l’autoconsommation. Cependant, cette formule ne diminue pas les factures et ne vous rend pas moins dépendant du réseau. A la fin de chaque année de fonctionnement, vous pourrez facturer EDF pour l’électricité produite relevée sur un compteur de sortie. Notez qu’il faudra vous acquitter de coût de raccordement au réseau et que vous devrez payer le TURPE (Tarif d’Utilisation des Réseaux Publics d’Electricité).
Autoconsommation totale
A l’inverse de la vente totale se trouve l’autoconsommation totale. Cette formule demande nettement moins de démarches administratives. En effet, votre installation ne sera pas raccordée au réseau. Grâce à elle, vous diminuerez le montant de vos factures. L’excédent s’il y en a un ne sera pas vendu mais réinjecté gratuitement.
Autoconsommation avec vente du surplus
Le fonctionnement est pratiquement le même que pour l’autoconsommation totale. La différence fondamentale étant que le surplus produit est compté et facturé à EDF. Vous pourrez le vendre :
- 10 cts / kWh pour des installations d’une puissance comprise entre 0 et 9 kWc
- 6 cts / kWh pour des installations d’une puissance comprise entre 9 et 100 kWc.
- 400 €/kWc pour une installation inférieure ou égale à 3 kilowatts-crête (kWc) ;
- 300 €/kWc pour une installation d’une puissance comprise entre 3 et 9 kWc ;
- 200 €/kWc pour une installation d’une puissance comprise entre 9 et 36 kWc ;
- 100 €/kWc pour une installation d’une puissance comprise entre 36 et 100 kWc.
Autoconsommation avec batteries
Vous pouvez intégrer à votre installation photovoltaïque des batteries pour vous permettre d’utiliser l’électricité produite en surplus à un autre moment qu’à l’instant de la production.
Optimisation de l’autoconsommation et domotique
Plus rentable et moins coûteux que les batteries, il existe aujourd’hui plusieurs dispositifs pour optimiser l’autoconsommation. Il va s’agir de déplacer en journée la consommation qu’on a habituellement de nuit. Ainsi on consommera l’électricité aux heures où elle sera produite.
Compensation globale
Le principe de la compensation globale est de produire à l’année autant d’électricité que vous en consommez. Le dimensionnement de l’installation se fera en fonction du potentiel de la toiture (météo, orientation, inclinaison, etc) et de votre consommation annuelle. Le surplus non utilisé aux moments de production des panneaux sera vendu la plupart du temps.
Thermique
Les systèmes solaires thermiques sont constitués de 3 parties : le panneau solaire lui-même, un circuit caloporteur et un ballon d’eau chaude. Le fluide caloporteur chauffe en passant dans des conduits à l’intérieur du panneau quand celui-ci est exposé à un rayonnement direct. Le circuit mène ensuite le fluide caloporteur à l’intérieur du ballon où il circule dans un conduit en serpentin permettant de maximiser les échanges calorifiques
Thermodynamique
Le principe du solaire thermodynamique est de concentrer le rayonnement direct afin de produire de la chaleur. Cette chaleur est ensuite utilisée afin par exemple de chauffer de l’eau permettant d’actionner des turbines dans le cas de centrales solaires à concentration ou de chauffer de l’eau sanitaire.
Hybride
Les systèmes solaires hybrides désignent généralement des panneaux solaires liant une partie photovoltaïque avec une partie thermique en dessous.
Aérovoltaïque
L’aérovoltaïque combine deux technologies : d’une part des panneaux photovoltaïques, d’autre part des panneaux thermiques produisant de l’air chaud. Cet air chaud est ventilé par un système central pour chauffer un bâtiment en hiver. En été, le bâtiment sera ventilé comme sous l’effet d’une VMC.
Retour énergétique d’un panneau
Un panneau solaire va compenser l’énergie qui a été nécessaire pour le construire dans la 2ème à la 4ème année de son fonctionnement sur une durée de vie pouvant s’étaler jusqu’à 40 ans.
Recyclage
Contrairement aux idées reçues, les panneaux solaires se recyclent et ont aujourd’hui un taux de recyclage d’environ 95% pour certains. Le silicium utilisé dans les panneaux pourra être réutilisé jusqu’à 4 fois dans de nouveaux panneaux. La partie non recyclable du panneau se trouve dans la connectique de celui-ci (fils d’argent, etc). Le photovoltaïque est le seul secteur qui a créé sa propre filière de recyclage, c’est l’installateur qui s’occupera de démonter le panneau endommagé et de le déposer dans un point de collecte PV Cycle prévu à cet effet.
Labels et qualifications
Les installateurs de panneaux solaires doivent avoir des compétences en termes électriques et des compétences de couvreurs. Il existe la mention RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) pour les installateurs. Par ailleurs, les labels de formation QualiPV, Qualibat ou Qualifelec sont désormais obligatoires pour les installateurs de panneaux solaires.
Tarifs
Les prix d’une même installation solaire changent selon la région où l’on se trouve. Généralement, les prix seront un peu plus élevés dans le sud de la France pour une même installation.
Processus de référencement
Nos installateurs sont a minima RGE. Seulement, cette mention n’est pas suffisante pour être certain d’avoir un bon installateur. Ainsi, seuls environ 30% des RGE réunissent nos critères de sélection. Notre processus de sélection n’accepte que les entreprises ayant au moins 3 ans d’expérience. Leurs assurances, formations, diplômes et registre de sinistralité sont vérifiés. Des enquêtes qualités enfin sont menées auprès de tous les clients de leurs anciennes installations sur les 3 dernières années. Ces enquêtes qualité vérifient leur tarification, leurs pratiques commerciales et la qualité technique de leur travail.
Technologie simulateur
La technologie de notre simulateur est basée sur un algorithme recoupant d’une part des données d’ensoleillement météo-satellitaires et des données au sol de Météo France. Les ombrages des autres bâtiments et du relief lointain sont pris en compte pour affiner encore davantage les données. Des collectivités ont également souhaité s’équiper en cadastres solaires. Ceux-ci fonctionnent avec de la modélisation numérique en 3D de la surface du sol. On peut ainsi même constater les impacts de la végétation sur la production d’une installation.
Rémunération
In Sun We Trust se rémunère sur une commission sur l’installation si et seulement si celle-ci est réalisée.
Accompagnement
Nous proposons un accompagnement gratuit pour nos utilisateurs. Vous pourrez bénéficier des conseils et des informations d’In Sun We trust en tant que tiers de confiance. Nous proposons également un arbitrage entre les différents devis que vous recevrez de nos installateurs sur le principe de leur mise en concurrence.